Date | 30 octobre 2012 / www.procarton.com | |||||||||||||
Titre | La belle histoire de Pro Carton avec l’environnement continue ... | |||||||||||||
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Depuis 2005, Pro Carton a rassemblé et communiqué à intervalles réguliers les données relatives à l’impact environnemental des processus de production du carton et des cartonnages. Le dernier rapport en date présente les données du Cycle de Vie pour l’année 2011, et inclut le carton en fibres vierges et recyclées ainsi que les cartonnages imprimés. |
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En utilisant la même base pour comparer les données de l’année 2011 avec celles collectées en 2008, des améliorations ont pu être constatées dans les principales catégories d’impact environnemental ci-dessous. Nombre de ces améliorations sont dues à une utilisation plus efficace de l’électricité, à une utilisation accrue de la bioénergie, et à une plus grande attention portée à la mesure et au contrôle des ressources en eau.
Améliorations
L’empreinte carbone moyenne du secteur est de 915 kg équivalent CO₂fossile/tonne provenant du carton produit et transformé.
Carbone biogénique et empreinte carbone des cartonnages Les arbres poussent en absorbant du dioxyde de carbone et en rejetant de l’oxygène via la photosynthèse. Ce processus de filtration fournit une matière première renouvelable et d’origine biologique utilisée pour la fabrication de produits papier et carton. Ce processus se mesure en termes de carbone biogénique. En 2009, l’Institut suédois de recherche sur l’environnement (IVL) a mis au point une méthodologie permettant de calculer la quantité de carbone biogénique présente dans l’empreinte carbone du carton, consistant à établir un lien entre les avantages carbone de la matière première naturelle et l’emballage carton. L’IVL a proposé une relation positive entre le piégeage net du carbone dans les forêts écogérées et la consommation de carton : la demande de carton de la part des consommateurs stimule la demande en bois (fibre de bois destinée à la fabrication du carton), laquelle encourage à son tour la gestion durable des forêts ainsi que le piégeage net du carbone dans les forêts. L’étude réalisée par l’IVL suggère que la demande du marché en carton permet d’éliminer de l’atmosphère 730 kg de dioxyde de carbone biogénique par tonne de cartons en Europe. Le travail de l’IVL vient compléter les données de Pro Carton mesurant la quantité d’équivalent dioxyde de carbone émise par les combustibles fossiles dans les processus de production du secteur (« du berceau à la porte »). Pour l’année 2011, l’empreinte carbone de Pro Carton est de 915 kg d’équivalent CO/tonne de carton. Dans le cadre d’une approche « du berceau à la porte », les émissions de 915 kg/tonne équivalent CO₂ fossile sont compensées de manière significative par le chiffre de -730 kg de piégeage du CO₂ biogénique. Renouvelable matière composée de biomasse issue d’une source vivante et pouvant être perpétuellement renouvelée L’emballage carton produit à partir de fibres vierges issues de forêts écogérées peut revendiquer de façon crédible être fabriqué à partir d’un matériau renouvelable. Choisir le carton encourage le captage du dioxyde de carbone afin d’en faire un matériau renouvelable et de démontrer la contribution positive que l’emballage carton apporte au débat sur le changement climatique et l’environnement. ¹ « Carbon Footprint of Cartons in Europe – Carbon Footprint methodology and biogenic carbon sequestration » (« Empreinte carbone du carton en Europe – Méthodologie d’empreinte carbone et piégeage du carbone biogénique ») IVL Swedish Environmental Research Institute 2009 Pour plus d’informations, veuillez consulter les rubriques « Sustainability » et « Resource Efficiency » sur le site : www.procarton.com |
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Plus d'information | Jennifer Buhaenko +44 1371 856 577 buhaenko@procarton.com | |||||||||||||
Contexte | Pro Carton est l'Association européenne des fabricants de cartonnages et de carton plat. Son principal but est de promouvoir l'utilisation de cartonnages et de carton plat auprès des fabricants de produits de marque, des distributeurs, des designers, des médias et des responsables politiques, comme un mode d'emballage économiquement et écologiquement équilibré. |